Larmes de sang: poème de marie Neige Sardin
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Larmes de sang: poème de marie Neige Sardin
Par sécurité, je ne fais pas de compte-rendu quant à cette affaire, mais certains amis du blog devineront pourquoi sans que j'ai à le préciser.... voici ce texte...
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est l'enfer
Mon jardin ce n'est plus un jardin, c'est la peine
Mon chemin ce n'est plus un chemin, c'est la haine
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est la misère
Dans la blanche cérémonie
Où la neige au vent se marie
Dans ce pays d' humanistes
Mon père a fait bâtir maison
Et je m'en vais être fidèle
À sa manière, à son modèle
La foule d'amis sera telle
Qu'on viendra des autres provinces
Pour se blottir à côté d'elle
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est l'horreur
Mon refrain ce n'est plus un refrain, c'est l'appel
Ma maison ce n'est plus ma maison, c'est blessure
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est souillure
De mon grand pays solidaire
Je crie avant que de me taire
À tous les patriotes de la terre
Ma maison c'est votre maison
Entre mes quatre murs de sang
Je mets mon temps et mon espace
À préparer le feu, la place
Pour mon peuple de coeur
Car ils sont mes frères d'armes
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est l'impasse
Mon jardin ce n'est plus un jardin, c'est le désastre
Mon chemin ce n'est plus un chemin, c'est la croix
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est haute trahison
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est une crème renversée
D'un pays qui était une nation, les valeurs ils ont inversées
Mes mots ce ne sont plus mes maux, c'est ma vie
C'est pour toi que je veux posséder la vérité
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est l'enfer
Mon jardin ce n'est plus un jardin, c'est la peine
Mon chemin ce n'est plus un chemin, c'est la haine
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est la misère
Dans la blanche cérémonie
Où la neige au vent se marie
Dans ce pays d' humanistes
Mon père a fait bâtir maison
Et je m'en vais être fidèle
À sa manière, à son modèle
La foule d'amis sera telle
Qu'on viendra des autres provinces
Pour se blottir à côté d'elle
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est l'horreur
Mon refrain ce n'est plus un refrain, c'est l'appel
Ma maison ce n'est plus ma maison, c'est blessure
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est souillure
De mon grand pays solidaire
Je crie avant que de me taire
À tous les patriotes de la terre
Ma maison c'est votre maison
Entre mes quatre murs de sang
Je mets mon temps et mon espace
À préparer le feu, la place
Pour mon peuple de coeur
Car ils sont mes frères d'armes
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est l'impasse
Mon jardin ce n'est plus un jardin, c'est le désastre
Mon chemin ce n'est plus un chemin, c'est la croix
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est haute trahison
Mon pays ce n'est plus un pays, c'est une crème renversée
D'un pays qui était une nation, les valeurs ils ont inversées
Mes mots ce ne sont plus mes maux, c'est ma vie
C'est pour toi que je veux posséder la vérité
Dagda- Messages : 354
Date d'inscription : 17/01/2011
Localisation : auvergne
Re: Larmes de sang: poème de marie Neige Sardin
Autre texte de Marie Neige... Pourquoi les mettre ici et maintenant? tout simplement parce que son blog est infiltré, repris par les Judens.... voir les articles dans Le Gaulois.
Reconquète
.par Marie Neige Sardin, dimanche 13 mars 2011, 10:48. Il y n'y avait rien,
Il n'y avait plus rien,
C'était le désert et l'abandon,
C'était la marée des conquérants,
La boue des rues,
La boue des urnes
La boue des peurs
Et des malheurs,
Odeur d'Orient, odeur de rien.
Sur les mosaïques gothiques
De nos cathédrales antiques,
Sur les ruines vivantes,
De la patrie aimante,
Le charivari puant
De polichinelles à turbans,
Haineux, fébriles et méchants,
Donnait un nouveau "la":
Celui du Prophète d'Allah.
Sous le soleil des rois,
Dans la patrie de Jeanne,
De Colbert, de Turenne,
De Larrey, de Paré
A la face de tous paraît,
Dans l'halalli de l'effroi,
Le rictus de la haine.
Entre Saint-Just et Marat,
Rigolard, un Fou d'Allah,
Rotant son dernier repas
De mouton, de zalabias,
Explique sur les télés
Que nos principes et nos lois,
Que la victoire du 19 Mars,
Que les ventres abondants
Du légitime conquérant
Fondent l'ordre nouveau,
Ordonnent la grande farce
D'un nouveau monde où le Gaulois
Entre la tyrannie des sots
Et celle de Gayssot
Doit se taire, muselé,
Adorer le nouveau dieu,
Adopter le calendrier
Et renier le sanglier
Et, pour le reste, se taire et filer droit.
Le nouveau roi de la tribu,
Le perroquet de minaret,
Par les élus souchiens adoubé,
A parlé.
Le Patriote,
L'enfant de France,
Celui de la vieille Europe,
A vu sa citadelle vaciller
Et pleurait le soir en priant son Dieu,
En priant ses dieux,
En invoquant ses aïeux,
Il protestait tout seul
Contre un destin cruel
Et soudain, dans l'ombre du maquis,
Il entendit des frères en marche
Lui redonner l'espoir.
Il vit leurs ombres se dessiner
Sur fond lumineux de résistance
Et de combat.
Et son coeur reprit confiance.
Face aux traîtres nés,
Face aux vaincus innés
Qui le faisaient dhimmi,
Qui le faisaient esclave,
Qui le faisaient larbin,
Qui le faisaient soumis
De la loi des forbans à Cha'ria,
Arrogants en pays conquis,
Vidant nos caisses et vidant nos lois,
Sifflant nos chants,
Violant notre âme et nos drapeaux,
Vidant nos poches et nos mémoires,
Moquant nos femmes et notre Histoire,
Le patriote,
L'enfant de France,
Et de notre vieille Europe
A retrouvé courage,
A retrouvé sa vie.
Dans cette féconde terre
De traîtres héréditaires,
Dans la patrie interlope
de Cauchon, de Ganelon,de Judas,
de Bony, de Lafont, de Gayssot
Et de tant de salopes
Sonne l'heure encore
D'une autre résistance,
D'une autre gloire, d'un autre honneur,
Tout autant héréditaire:
L'heure est aux Identitaires !
Le Patriote,
L'enfant de France,
Celui de la vieille Europe
Se souvient sans honte
De ses héros et de ses saints,
De ses génies et de ses gloires.
Il prie Dieu,
Il prie ses dieux,
Il prie ses aïeux
Que la phalange qui se lève
Comme à Poitiers, comme à Lépante,
Que l'armée à fleur de Lys
Ou que l'armée républicaine
De Charleroi et de Verdun,
Comme à Beyrouth, comme en Serbie,
Au Bosphore ou à Alger,
à Madrid, à Vienne ou à Toulouse,
à Budapest ou à Belgrade,
Pour la terre et pour le roi,
Pour la laïcité ou pour la foi,
Pour l'humanisme, la liberté
Rende à nos coeurs et à nos lois
Le parfum, le goût et les couleurs
De notre Identité.
A ma patrie.
Reconquète
.par Marie Neige Sardin, dimanche 13 mars 2011, 10:48. Il y n'y avait rien,
Il n'y avait plus rien,
C'était le désert et l'abandon,
C'était la marée des conquérants,
La boue des rues,
La boue des urnes
La boue des peurs
Et des malheurs,
Odeur d'Orient, odeur de rien.
Sur les mosaïques gothiques
De nos cathédrales antiques,
Sur les ruines vivantes,
De la patrie aimante,
Le charivari puant
De polichinelles à turbans,
Haineux, fébriles et méchants,
Donnait un nouveau "la":
Celui du Prophète d'Allah.
Sous le soleil des rois,
Dans la patrie de Jeanne,
De Colbert, de Turenne,
De Larrey, de Paré
A la face de tous paraît,
Dans l'halalli de l'effroi,
Le rictus de la haine.
Entre Saint-Just et Marat,
Rigolard, un Fou d'Allah,
Rotant son dernier repas
De mouton, de zalabias,
Explique sur les télés
Que nos principes et nos lois,
Que la victoire du 19 Mars,
Que les ventres abondants
Du légitime conquérant
Fondent l'ordre nouveau,
Ordonnent la grande farce
D'un nouveau monde où le Gaulois
Entre la tyrannie des sots
Et celle de Gayssot
Doit se taire, muselé,
Adorer le nouveau dieu,
Adopter le calendrier
Et renier le sanglier
Et, pour le reste, se taire et filer droit.
Le nouveau roi de la tribu,
Le perroquet de minaret,
Par les élus souchiens adoubé,
A parlé.
Le Patriote,
L'enfant de France,
Celui de la vieille Europe,
A vu sa citadelle vaciller
Et pleurait le soir en priant son Dieu,
En priant ses dieux,
En invoquant ses aïeux,
Il protestait tout seul
Contre un destin cruel
Et soudain, dans l'ombre du maquis,
Il entendit des frères en marche
Lui redonner l'espoir.
Il vit leurs ombres se dessiner
Sur fond lumineux de résistance
Et de combat.
Et son coeur reprit confiance.
Face aux traîtres nés,
Face aux vaincus innés
Qui le faisaient dhimmi,
Qui le faisaient esclave,
Qui le faisaient larbin,
Qui le faisaient soumis
De la loi des forbans à Cha'ria,
Arrogants en pays conquis,
Vidant nos caisses et vidant nos lois,
Sifflant nos chants,
Violant notre âme et nos drapeaux,
Vidant nos poches et nos mémoires,
Moquant nos femmes et notre Histoire,
Le patriote,
L'enfant de France,
Et de notre vieille Europe
A retrouvé courage,
A retrouvé sa vie.
Dans cette féconde terre
De traîtres héréditaires,
Dans la patrie interlope
de Cauchon, de Ganelon,de Judas,
de Bony, de Lafont, de Gayssot
Et de tant de salopes
Sonne l'heure encore
D'une autre résistance,
D'une autre gloire, d'un autre honneur,
Tout autant héréditaire:
L'heure est aux Identitaires !
Le Patriote,
L'enfant de France,
Celui de la vieille Europe
Se souvient sans honte
De ses héros et de ses saints,
De ses génies et de ses gloires.
Il prie Dieu,
Il prie ses dieux,
Il prie ses aïeux
Que la phalange qui se lève
Comme à Poitiers, comme à Lépante,
Que l'armée à fleur de Lys
Ou que l'armée républicaine
De Charleroi et de Verdun,
Comme à Beyrouth, comme en Serbie,
Au Bosphore ou à Alger,
à Madrid, à Vienne ou à Toulouse,
à Budapest ou à Belgrade,
Pour la terre et pour le roi,
Pour la laïcité ou pour la foi,
Pour l'humanisme, la liberté
Rende à nos coeurs et à nos lois
Le parfum, le goût et les couleurs
De notre Identité.
A ma patrie.
Dagda- Messages : 354
Date d'inscription : 17/01/2011
Localisation : auvergne
Marie-Neige Sardin : Une femme française debout ! par Jean-Marc DESANTI
Marie en procès !
L'impensable ! L'inconcevable !Lorsque mes lointains ancêtres, de parfaits métèques, fuyant les pogroms, l'injustice et la misère arrivèrent sur le sol de France, ils furent subjugués par la beauté des lieux mais surtout à jamais bouleversés par la devise au fronton des mairies : Liberté, Égalité, Fraternité.Alors ils ne choisirent pas « l'intégration » mais « l'assimilation » pour cette patrie si tendre et si exceptionnellement accueillante.Ils aimèrent tant ce pays que beaucoup d'entre eux choisirent le métier des armes et que tous servirent le drapeau tricolore dans toutes les guerres menées ou subies par la France. Depuis il est de tradition chez nous de marcher, sac au dos, le fusil à la bretelle, sur la terre de notre pays et d'apprendre à vagabonder les nuits froides de janvier. Là, où sur les champs désertés, sur les branches mutilées qui jalonnent les chemins, il y a encore de la neige … Marie.
Marie-Neige Sardin, Libraire dans le « neuf-trois » a été insultée, agressée, cambriolée, violée par des barbares incapables de la moindre sensibilité, au risque de ne jamais trouver chez eux une parcelle d'humanité.
Alors, comme disait Brel à qui on reprochait d'avoir écrit des textes durs, mais pleins de vérité comme les singes ou les flamandes : « Quand on a mal, on gueule ! ».
Son corps et son âme en lambeaux, Marie a eu mal, très mal. La « Justice » l'accuse de cette souffrance, de dire, avec des mots, sur son blog http://le-bourget.over-blog.com/ ce qu'elle ne peut exprimer par la parole tellement la douleur est vive et la rend vulnérable.
Malgré tout cette femme menacée, parce que française et laïque refuse de céder. Elle croit en la littérature, en l'art et la culture, ces outils pour combattre l'ignorance. Elle reste dans son quartier, dans sa petite boutique, cette utopie, cette incertitude de rêves montés mais chaque jour brisés.
Elle dérange par la transmission de toutes les cultures dans un univers hostile et sur un territoire où la France n'est plus la France.
Elle ne vit pas en zone libre comme les magistrats des beaux quartiers qui la persécutent. Elle vit en zone occupée.
En refusant de mettre au pas et de repousser hors des frontières les coupables qui piétinent les lois de notre république et les lois séculaires de la bienséance et de la civilité, la justice « française » se conduit comme une instance de bon plaisir et non comme une institution garante de l'article 2 de la DDH : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression ».
Après Jeanne d'Arc mais aussi les parachutistes Jeanne Bohec, Marie-Laure Cloarec, Eugénie Djendi, Suzanne Mertzizen du BCRA de la France Libre ou Raymonde Tillon des FTP, c'est encore une femme qui nous montre, à nous Français et Européens, comment et jusqu'où on doit lutter pour défendre chaque parcelle de nos Patries.
Aujourd'hui, Marie-Neige Sardin devient étrangère dans son propre pays. C'est un bien grand honneur que d'être traitée ainsi par des « juges ».
Elle peut, et nous avec elle, légitimement rétorquer comme Marcel Langer le 23 juillet 1943 au réquisitoire impitoyable de l'avocat général Lespinasse : « Je suis français d'abord, c'est vous l'étranger ! ».
Un poète, victime d'un procès inique, dénoncé aujourd'hui, avec un courage par l'avocat général Philippe Bilger dans un grand livre écrivit quelques jours avant son exécution son célèbre « Jugement des juges ».
Il y disait notamment :
« Oui, tous, les soldats, les bandits, on leur fera bonne mesure,Ne craignez pas, hommes de bien, ils seront jugés eux aussi.Mais c’est à eux, pour commencer, qu’il convient de parler ici,Car la parole est tout d’abord à ceux qui courent l’aventure,Et non à ceux qui pour juger se sont satisfaits d’être assis,De poser sur leur calme front leur toque noire ou leur képi,Et de payer d’un peu de sang leur carrière et leur nourriture. »
Dans les dernières guerres, on avait l'habitude de dire : « Les planqués sont à l'arrière et les hommes au front. ».
Considérant les aventures extérieures menées par notre état à la sauce mondialiste et la situation de populations terrorisées sur le territoire national, nous pouvons affirmer que les généraux planqués sont au front et qu'il faut rapatrier les soldats à l'arrière, au pays, là où se mène la lutte pour notre indépendance, notre souveraineté et notre identité.
Perso j'ai retiré la fin du texte,
Que quelqu'un aille demander a l'intelligentsia juive ET occidentale de lever la chape de plomb qui pese sur le peuple français, et aussi de liberer nos freres allemands de l'esclavagisme dans lequel ils les tiennent depuis 1945!
L'impensable ! L'inconcevable !Lorsque mes lointains ancêtres, de parfaits métèques, fuyant les pogroms, l'injustice et la misère arrivèrent sur le sol de France, ils furent subjugués par la beauté des lieux mais surtout à jamais bouleversés par la devise au fronton des mairies : Liberté, Égalité, Fraternité.Alors ils ne choisirent pas « l'intégration » mais « l'assimilation » pour cette patrie si tendre et si exceptionnellement accueillante.Ils aimèrent tant ce pays que beaucoup d'entre eux choisirent le métier des armes et que tous servirent le drapeau tricolore dans toutes les guerres menées ou subies par la France. Depuis il est de tradition chez nous de marcher, sac au dos, le fusil à la bretelle, sur la terre de notre pays et d'apprendre à vagabonder les nuits froides de janvier. Là, où sur les champs désertés, sur les branches mutilées qui jalonnent les chemins, il y a encore de la neige … Marie.
Marie-Neige Sardin, Libraire dans le « neuf-trois » a été insultée, agressée, cambriolée, violée par des barbares incapables de la moindre sensibilité, au risque de ne jamais trouver chez eux une parcelle d'humanité.
Alors, comme disait Brel à qui on reprochait d'avoir écrit des textes durs, mais pleins de vérité comme les singes ou les flamandes : « Quand on a mal, on gueule ! ».
Son corps et son âme en lambeaux, Marie a eu mal, très mal. La « Justice » l'accuse de cette souffrance, de dire, avec des mots, sur son blog http://le-bourget.over-blog.com/ ce qu'elle ne peut exprimer par la parole tellement la douleur est vive et la rend vulnérable.
Malgré tout cette femme menacée, parce que française et laïque refuse de céder. Elle croit en la littérature, en l'art et la culture, ces outils pour combattre l'ignorance. Elle reste dans son quartier, dans sa petite boutique, cette utopie, cette incertitude de rêves montés mais chaque jour brisés.
Elle dérange par la transmission de toutes les cultures dans un univers hostile et sur un territoire où la France n'est plus la France.
Elle ne vit pas en zone libre comme les magistrats des beaux quartiers qui la persécutent. Elle vit en zone occupée.
En refusant de mettre au pas et de repousser hors des frontières les coupables qui piétinent les lois de notre république et les lois séculaires de la bienséance et de la civilité, la justice « française » se conduit comme une instance de bon plaisir et non comme une institution garante de l'article 2 de la DDH : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression ».
Après Jeanne d'Arc mais aussi les parachutistes Jeanne Bohec, Marie-Laure Cloarec, Eugénie Djendi, Suzanne Mertzizen du BCRA de la France Libre ou Raymonde Tillon des FTP, c'est encore une femme qui nous montre, à nous Français et Européens, comment et jusqu'où on doit lutter pour défendre chaque parcelle de nos Patries.
Aujourd'hui, Marie-Neige Sardin devient étrangère dans son propre pays. C'est un bien grand honneur que d'être traitée ainsi par des « juges ».
Elle peut, et nous avec elle, légitimement rétorquer comme Marcel Langer le 23 juillet 1943 au réquisitoire impitoyable de l'avocat général Lespinasse : « Je suis français d'abord, c'est vous l'étranger ! ».
Un poète, victime d'un procès inique, dénoncé aujourd'hui, avec un courage par l'avocat général Philippe Bilger dans un grand livre écrivit quelques jours avant son exécution son célèbre « Jugement des juges ».
Il y disait notamment :
« Oui, tous, les soldats, les bandits, on leur fera bonne mesure,Ne craignez pas, hommes de bien, ils seront jugés eux aussi.Mais c’est à eux, pour commencer, qu’il convient de parler ici,Car la parole est tout d’abord à ceux qui courent l’aventure,Et non à ceux qui pour juger se sont satisfaits d’être assis,De poser sur leur calme front leur toque noire ou leur képi,Et de payer d’un peu de sang leur carrière et leur nourriture. »
Dans les dernières guerres, on avait l'habitude de dire : « Les planqués sont à l'arrière et les hommes au front. ».
Considérant les aventures extérieures menées par notre état à la sauce mondialiste et la situation de populations terrorisées sur le territoire national, nous pouvons affirmer que les généraux planqués sont au front et qu'il faut rapatrier les soldats à l'arrière, au pays, là où se mène la lutte pour notre indépendance, notre souveraineté et notre identité.
Perso j'ai retiré la fin du texte,
Que quelqu'un aille demander a l'intelligentsia juive ET occidentale de lever la chape de plomb qui pese sur le peuple français, et aussi de liberer nos freres allemands de l'esclavagisme dans lequel ils les tiennent depuis 1945!
clovis 92- Messages : 2426
Date d'inscription : 02/07/2009
Age : 76
Localisation : Nanterre
Re: Larmes de sang: poème de marie Neige Sardin
Quelle satanée horreur!!!! je suis écoeurée de la tournure que çà prend avec ce Desanti... Quand on regarde le blog ou d'autres sites, c'est infesté de cloportes et cette affaire sent le roussi. Vu l'état de choc de Marie Neige Sardin, la main mise sur elle par tous ces faux-amis, elle est complètement submergée et ne discerne plus l'authentique du pourri. Tout un tas de manigances derrière son dos, à son insu et avec les courbettes de gens siiiiiiii coooooooooomprééééééééheeeeeensiiiiiiifs... Aîe aïe aïe!!!! toutes ces ordures en profitent pour noter les noms des intervenants... tu comprends la suite.....
Dagda- Messages : 354
Date d'inscription : 17/01/2011
Localisation : auvergne
Re: Larmes de sang: poème de marie Neige Sardin
Même les membres du peuple élu tentent de s’approprier cette lamentable affaire au travers de « Lohamei Haghetaot » LA MAISON DES COMBATTANTS DES GHETTOS, dont doit faire parti ce Desanti
Personnellement je les (em…de) tous autant qu’ils sont
Ils ont certainement mon nom, voir même mon adresse et ce n’est pas encore aujourd’hui que l’on va me dire ce qu’il faut que je pense, ni ce qu’il faut que je fasse, j'ai encore le Shoah
Personnellement je les (em…de) tous autant qu’ils sont
Ils ont certainement mon nom, voir même mon adresse et ce n’est pas encore aujourd’hui que l’on va me dire ce qu’il faut que je pense, ni ce qu’il faut que je fasse, j'ai encore le Shoah
clovis 92- Messages : 2426
Date d'inscription : 02/07/2009
Age : 76
Localisation : Nanterre
Re: Larmes de sang: poème de marie Neige Sardin
Je me trompe peut-être, mais je trouve que cette affaire devient presque un lobby où tout le monde y va de son chapître; en regard du bénéfice/risque quant à son épanouissement perso, il vaudrait mieux pour elle qu'elle se barre de là, au lieu de consentir des accords avec moult quidam, ce qui, au bout du compte la dépersonnalise complètement et est surtout très destructeur. Résister? ok mais en ne mettant pas en pâture ce qui aurait pû être épargné....
Dagda- Messages : 354
Date d'inscription : 17/01/2011
Localisation : auvergne
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