La vague bleu latrines.
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La vague bleu latrines.
Ce fut une vague bleu latrines.
Un vulgaire coup de chasse d’eau dans la « vague bleu marine » qui n’est qu’en fait qu’une vaste blague, elle a perdu 110 000 voies entre les cantonales de 2004 et celles de dimanche dernier!!! »… C’est incroyable, et dire qu’on nous tympanise avec les cantonales alors que c’est un véritable fiasco pour Marine ! Elle ne fait que 6% des inscrits ! C’est incroyable ce mirage médiatique !
Suffrages du FN pour les cantonales:
1 540 916 en 1998!
1 490 315 en 2004
1 379 971…dimanche dernier
Donc pour l’usurpatrice moins elle fait de voies, plus c’est une réussite?
J’espère qu’elle va être très contente en 2012. En tous cas moi je l’aiderais a réussir a faire le moins de voies possible.
Un vulgaire coup de chasse d’eau dans la « vague bleu marine » qui n’est qu’en fait qu’une vaste blague, elle a perdu 110 000 voies entre les cantonales de 2004 et celles de dimanche dernier!!! »… C’est incroyable, et dire qu’on nous tympanise avec les cantonales alors que c’est un véritable fiasco pour Marine ! Elle ne fait que 6% des inscrits ! C’est incroyable ce mirage médiatique !
Suffrages du FN pour les cantonales:
1 540 916 en 1998!
1 490 315 en 2004
1 379 971…dimanche dernier
Donc pour l’usurpatrice moins elle fait de voies, plus c’est une réussite?
J’espère qu’elle va être très contente en 2012. En tous cas moi je l’aiderais a réussir a faire le moins de voies possible.
clovis 92- Messages : 2426
Date d'inscription : 02/07/2009
Age : 75
Localisation : Nanterre
Re: La vague bleu latrines.
Laissons -la se baigner dans son euphorie, plus dure sera la chute en 2012!
Je m'en delecte d'avance.............
Je m'en delecte d'avance.............
Landser- Messages : 856
Date d'inscription : 02/07/2009
Age : 66
Localisation : Bourgogne-Nievre
Re: La vague bleu latrines.
La vague tsumarine? moins coûteux et moins fatigant qu'un bulldozer!!!! çà va nous faire de la place quand la pétroleuse aura tout laminé et gare aux collabos!!!!!Landser a écrit:Laissons -la se baigner dans son euphorie, plus dure sera la chute en 2012!
Je m'en delecte d'avance.............
Dagda- Messages : 354
Date d'inscription : 17/01/2011
Localisation : auvergne
Re: La vague bleu latrines.
le FN ayant réussi à qualifier près de 400 candidats pour le second tour. Souvent d'illustres inconnus baptisés les "candidats fantômes"
Le FN a gagné deux élus départementaux : à Carpentras (Vaucluse) et à Brignoles (Var). Il espérait en avoir au moins dix.
Une preuve de plus que l’espoir fait vivre, mais qu'il ne fait pas gagner les élections
Deux grands espoirs du parti frontiste ne l'ont pas emporté : Steeve Briois a été battu dans le Pas-de-Calais et le compagnon de Marine Le Pen, Louis Aliot, a aussi été battu à Perpignan.
Au faite le front family a-t-il payer les quelques millions d’Euros qu’il doit à M Fernand Le Rachinel
Le fion national est il a jour avec l’URSSAF
Qui a financé cette campagne des cantonales ??? qui c’est soldé dimanche par un fiasco
Heureusement canard WC va vite nettoyer cette vague bleu latrine
Le FN a gagné deux élus départementaux : à Carpentras (Vaucluse) et à Brignoles (Var). Il espérait en avoir au moins dix.
Une preuve de plus que l’espoir fait vivre, mais qu'il ne fait pas gagner les élections
Deux grands espoirs du parti frontiste ne l'ont pas emporté : Steeve Briois a été battu dans le Pas-de-Calais et le compagnon de Marine Le Pen, Louis Aliot, a aussi été battu à Perpignan.
Au faite le front family a-t-il payer les quelques millions d’Euros qu’il doit à M Fernand Le Rachinel
Le fion national est il a jour avec l’URSSAF
Qui a financé cette campagne des cantonales ??? qui c’est soldé dimanche par un fiasco
Heureusement canard WC va vite nettoyer cette vague bleu latrine
clovis 92- Messages : 2426
Date d'inscription : 02/07/2009
Age : 75
Localisation : Nanterre
Re: La vague bleu latrines.
Quoi NABOLEON aurait mis la main au porte-monnaie pour subventionner le FN en cachette ?
C'est une possibilité, laissons canard wc mener l'enquête......lol.....
C'est une possibilité, laissons canard wc mener l'enquête......lol.....
Invité- Invité
Défaite "assez catégorique" pour le FN
28/03/2011 - Le Point.fr - Publié le 28/03/2011 à 08:49 - Modifié le 28/03/2011 à 08:58
Hervé Gattegno, rédacteur en chef au "Point", intervient sur les ondes de RMC du lundi au vendredi à 7 h 50 pour sa chronique politique "Le parti pris".
Nous analysons avec vous les résultats des élections cantonales. Beaucoup de commentateurs parlent d'une percée confirmée du Front national. Pour vous, ce scrutin marque, au contraire, une défaite de Marine Le Pen.
Il suffit de laisser parler les chiffres. Ils montrent que Marine Le Pen n'a pas gagné son pari. Ses candidats étaient présents dans 400 cantons et le FN avait recueilli 15 % au 1er tour ; au second, il est à 11,7 % et il n'a que deux élus. Comme l'abstention n'a presque pas bougé, le poids du FN a plutôt diminué. On suivait de près Steeve Briois, bras droit de Marine Le Pen, dans le Pas-de-Calais, et Louis Aliot, qui est son compagnon, dans les Pyrénées-Orientales. S'ils avaient été élus, elle n'aurait pas manqué d'en faire des symboles. Donc on a le droit de dire que leur échec est symbolique. Conclusion : Marine Le Pen avait parlé au premier tour d'un scrutin historique pour son parti ; on a vécu ensuite une semaine hystérique. À l'arrivée, c'est une défaite assez... catégorique.
Quelles leçons peut-on en tirer ?
Qu'il y a encore pour l'instant une limite à la stratégie de dédiabolisation du FN par sa présidente. Marine Le Pen n'est pas son père, elle ne tient pas les propos de son père - en tout cas sur la Shoah -, mais elle obtient des résultats qui ne sont pas si éloignés des siens. Le FN a déjà eu, par le passé, quelques conseillers généraux. Mais il n'a jamais réussi à apparaître comme une alternative crédible aux partis de gouvernement. Ce n'est toujours pas le cas. Marine Le Pen parlait hier soir d'un "vote d'adhésion" en faveur de ses candidats. Admettons. On voit surtout qu'il reste, pour beaucoup d'électeurs, une barrière symbolique à ne pas franchir.
Ça veut dire que, malgré la confusion des états-majors, il y a eu une sorte de "front républicain" contre les candidats du FN ?
C'est difficile à dire. Il faudra examiner en détail les résultats dans les départements pour voir où les reports de voix se sont effectués et où c'est l'augmentation de la participation qui a permis au FN de progresser. Mais on devine, dans certains cantons où le FN était fort et où il a encore progressé, qu'il a bénéficié de votes venus de la droite ; mais en face de lui, il y a eu une mobilisation plus importante pour barrer la route au FN. À Marseille, l'abstention a reculé de cinq points hier. Et le FN a été battu partout - sans que ni l'UMP ni le PS appellent clairement à faire battre ses candidats. De ce point de vue, il vaut mieux parler de "sursaut républicain" que de "front républicain".
Est-ce que ce scrutin est aussi un échec pour Nicolas Sarkozy ?
Clairement, oui. Avec à peu près 20 % des voix, l'UMP se retrouve à un niveau très bas - mais finalement cohérent avec les sondages actuels de Nicolas Sarkozy. Du coup, la ligne fixée à l'Élysée, qui consiste à appuyer très fort sur les sujets censés cristalliser le mécontentement et l'inquiétude des électeurs du FN, eh bien, cette ligne a conduit Nicolas Sarkozy droit dans le mur. On l'a vu entre les deux tours et on va le constater de plus en plus : le principal débat qui anime la droite, ce n'est pas celui qui porte sur l'islam et la laïcité (toujours prévu pour la semaine prochaine), c'est le débat sur l'opportunité d'une stratégie politique qui ouvre un boulevard à Marine Le Pen. Et peut-être que ce débat-là peut en faire ressurgir un autre : celui sur le choix du meilleur candidat possible pour l'UMP en 2012.
Hervé Gattegno, rédacteur en chef au "Point", intervient sur les ondes de RMC du lundi au vendredi à 7 h 50 pour sa chronique politique "Le parti pris".
Nous analysons avec vous les résultats des élections cantonales. Beaucoup de commentateurs parlent d'une percée confirmée du Front national. Pour vous, ce scrutin marque, au contraire, une défaite de Marine Le Pen.
Il suffit de laisser parler les chiffres. Ils montrent que Marine Le Pen n'a pas gagné son pari. Ses candidats étaient présents dans 400 cantons et le FN avait recueilli 15 % au 1er tour ; au second, il est à 11,7 % et il n'a que deux élus. Comme l'abstention n'a presque pas bougé, le poids du FN a plutôt diminué. On suivait de près Steeve Briois, bras droit de Marine Le Pen, dans le Pas-de-Calais, et Louis Aliot, qui est son compagnon, dans les Pyrénées-Orientales. S'ils avaient été élus, elle n'aurait pas manqué d'en faire des symboles. Donc on a le droit de dire que leur échec est symbolique. Conclusion : Marine Le Pen avait parlé au premier tour d'un scrutin historique pour son parti ; on a vécu ensuite une semaine hystérique. À l'arrivée, c'est une défaite assez... catégorique.
Quelles leçons peut-on en tirer ?
Qu'il y a encore pour l'instant une limite à la stratégie de dédiabolisation du FN par sa présidente. Marine Le Pen n'est pas son père, elle ne tient pas les propos de son père - en tout cas sur la Shoah -, mais elle obtient des résultats qui ne sont pas si éloignés des siens. Le FN a déjà eu, par le passé, quelques conseillers généraux. Mais il n'a jamais réussi à apparaître comme une alternative crédible aux partis de gouvernement. Ce n'est toujours pas le cas. Marine Le Pen parlait hier soir d'un "vote d'adhésion" en faveur de ses candidats. Admettons. On voit surtout qu'il reste, pour beaucoup d'électeurs, une barrière symbolique à ne pas franchir.
Ça veut dire que, malgré la confusion des états-majors, il y a eu une sorte de "front républicain" contre les candidats du FN ?
C'est difficile à dire. Il faudra examiner en détail les résultats dans les départements pour voir où les reports de voix se sont effectués et où c'est l'augmentation de la participation qui a permis au FN de progresser. Mais on devine, dans certains cantons où le FN était fort et où il a encore progressé, qu'il a bénéficié de votes venus de la droite ; mais en face de lui, il y a eu une mobilisation plus importante pour barrer la route au FN. À Marseille, l'abstention a reculé de cinq points hier. Et le FN a été battu partout - sans que ni l'UMP ni le PS appellent clairement à faire battre ses candidats. De ce point de vue, il vaut mieux parler de "sursaut républicain" que de "front républicain".
Est-ce que ce scrutin est aussi un échec pour Nicolas Sarkozy ?
Clairement, oui. Avec à peu près 20 % des voix, l'UMP se retrouve à un niveau très bas - mais finalement cohérent avec les sondages actuels de Nicolas Sarkozy. Du coup, la ligne fixée à l'Élysée, qui consiste à appuyer très fort sur les sujets censés cristalliser le mécontentement et l'inquiétude des électeurs du FN, eh bien, cette ligne a conduit Nicolas Sarkozy droit dans le mur. On l'a vu entre les deux tours et on va le constater de plus en plus : le principal débat qui anime la droite, ce n'est pas celui qui porte sur l'islam et la laïcité (toujours prévu pour la semaine prochaine), c'est le débat sur l'opportunité d'une stratégie politique qui ouvre un boulevard à Marine Le Pen. Et peut-être que ce débat-là peut en faire ressurgir un autre : celui sur le choix du meilleur candidat possible pour l'UMP en 2012.
Invité- Invité
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