« Ils urinent partout, on en a ras le bol »
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« Ils urinent partout, on en a ras le bol »
Avec le retour des beaux jours, quelques marginaux se sont à nouveau installés en centre-ville. À la grande colère des commerçants qui ont interpellé mairie et commissariat.
Les clochards en centre-ville, le retour. Neuf mois après les accrochages d'août dernier, qui avaient entraîné une première intervention de la mairie et du commissariat, le phénomène reprend de l'ampleur, avec le retour - tout relatif - des beaux jours. Une petite dizaine de personnes, plutôt jeunes, en rupture sociale, qui squatte la rue Toulzac.
Pas d'invasion, ni même « aucun fait marquant », si ce n'est « quelques ivresses récurrentes », selon la commissaire Edith Minier. Mais largement suffisant pour déclencher le courroux des commerçants de l'artère commerçante, véritable vitrine du coeur de ville.
« Ils ont des chiens, ils urinent partout et en fin de journée, ils sont complètement saoûls, explique Jacques Veyssières, propriétaire de la Maison de la presse de la rue Toulzac, en face de laquelle s'installent souvent les jeunes marginalisés.
On en a ras-le-bol. Ça a duré tout l'été dernier. Là, on est au mois de mai, on ne va pas se laisser faire ».
L'association des commerçants, présidée par Jacques Marouby, a d'ailleurs saisi à nouveau le commissariat de police et la mairie.
L'organisation d'une nouvelle réunion est actuellement « en cours », ainsi que le recrutement d'un médiateur de rue, chargé, selon le député-maire Philippe Nauche, de mettre en oeuvre le « travail de dialogue et de main tendue pour ramener les jeunes vers une prise en charge ».
Côté commerçants, cette avancée ne semble pourtant pas suffisante. « C'est pas ça qui a réglé le problème l'année dernière, récuse Jacques Veyssières. Mais l'arrivée de l'hiver ».
Jacques Marouby, lui, nuance : « Ça avait plutôt bien fonctionné mais là, ça recommence, et la question est de savoir ce qu'on va faire. Le problème, c'est que quand ils sont dans leur état normal, on leur trouverait presque des excuses. Mais quand ils boivent, ils deviennent plus agressifs ».
« Le plus souvent, cela reste entre eux », précise Philippe Nauche, qui voit dans ce phénomène, « un vrai problème de société », celui de « l'errance des jeunes ».
Un problème qui plus est, difficile à juguler et qui demandent de mêler actions policières et mesures d'inspirations plus sociales.
En attendant, conclut Jacques Veyssières, « on a l'impression qu'il y a une loi pour eux et une loi pour les autres ». Une loi où rien, cependant, n'interdit d'errer dans la rue.
Les clochards en centre-ville, le retour. Neuf mois après les accrochages d'août dernier, qui avaient entraîné une première intervention de la mairie et du commissariat, le phénomène reprend de l'ampleur, avec le retour - tout relatif - des beaux jours. Une petite dizaine de personnes, plutôt jeunes, en rupture sociale, qui squatte la rue Toulzac.
Pas d'invasion, ni même « aucun fait marquant », si ce n'est « quelques ivresses récurrentes », selon la commissaire Edith Minier. Mais largement suffisant pour déclencher le courroux des commerçants de l'artère commerçante, véritable vitrine du coeur de ville.
« Ils ont des chiens, ils urinent partout et en fin de journée, ils sont complètement saoûls, explique Jacques Veyssières, propriétaire de la Maison de la presse de la rue Toulzac, en face de laquelle s'installent souvent les jeunes marginalisés.
On en a ras-le-bol. Ça a duré tout l'été dernier. Là, on est au mois de mai, on ne va pas se laisser faire ».
L'association des commerçants, présidée par Jacques Marouby, a d'ailleurs saisi à nouveau le commissariat de police et la mairie.
L'organisation d'une nouvelle réunion est actuellement « en cours », ainsi que le recrutement d'un médiateur de rue, chargé, selon le député-maire Philippe Nauche, de mettre en oeuvre le « travail de dialogue et de main tendue pour ramener les jeunes vers une prise en charge ».
Côté commerçants, cette avancée ne semble pourtant pas suffisante. « C'est pas ça qui a réglé le problème l'année dernière, récuse Jacques Veyssières. Mais l'arrivée de l'hiver ».
Jacques Marouby, lui, nuance : « Ça avait plutôt bien fonctionné mais là, ça recommence, et la question est de savoir ce qu'on va faire. Le problème, c'est que quand ils sont dans leur état normal, on leur trouverait presque des excuses. Mais quand ils boivent, ils deviennent plus agressifs ».
« Le plus souvent, cela reste entre eux », précise Philippe Nauche, qui voit dans ce phénomène, « un vrai problème de société », celui de « l'errance des jeunes ».
Un problème qui plus est, difficile à juguler et qui demandent de mêler actions policières et mesures d'inspirations plus sociales.
En attendant, conclut Jacques Veyssières, « on a l'impression qu'il y a une loi pour eux et une loi pour les autres ». Une loi où rien, cependant, n'interdit d'errer dans la rue.
Re: « Ils urinent partout, on en a ras le bol »
Brive en corrèze. De plus je n'ai pas à rappeler la réputation de la creuse et bien il vont construire une mosquée à Guéret, la capital. ( 1500 habitants).
C'est tout simplement inadmissible, scandaleux et insuportable. Les pouvoirs publics sont des traitres Il dénaturent notre beau pays avec la complicité des électeurs qui votent pour eux malgrès toutes nos préventions. Honte à eux et vive notre France!
C'est tout simplement inadmissible, scandaleux et insuportable. Les pouvoirs publics sont des traitres Il dénaturent notre beau pays avec la complicité des électeurs qui votent pour eux malgrès toutes nos préventions. Honte à eux et vive notre France!
Re: « Ils urinent partout, on en a ras le bol »
Crasseux, fainéant, aucun respect, elle est belle la France
En tout cas d'après la photo, ils ont l'air de bien se porter pour des clochard(e)s Aller, tous au fin fond d'un caniveau!
En tout cas d'après la photo, ils ont l'air de bien se porter pour des clochard(e)s Aller, tous au fin fond d'un caniveau!
Fils de France- Messages : 179
Date d'inscription : 03/04/2010
Age : 39
Re: « Ils urinent partout, on en a ras le bol »
Demandons le rétablissement du délit de vagabondage et la mise en place de patrouille de police comme les bleus dans le temps à PARIS qui ramassaient les clodos pour les nettoyer et les enlever du centre-ville le temps d'une nuit.
NDP BN- Messages : 129
Date d'inscription : 25/03/2010
Age : 64
Localisation : CAEN
Re: « Ils urinent partout, on en a ras le bol »
Quel bande de porc!
Napoléane 87- Messages : 108
Date d'inscription : 05/04/2010
Age : 52
Localisation : Limousin
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