tague anti tradi a bordeaux
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tague anti tradi a bordeaux
Des croix gammées et des sigles SS sur les murs inscrits à la peinture noire. C'est ce qu'a découvert samedi, sur la façade de sa maison, l'avocat Thomas Rivière, président de l'école bordelaise Saint-Projet, établissement d'enseignement catholique entièrement privé.
Il est mis en cause dans le reportage « À la droite du Père », diffusé sur France 2 mardi dernier dans l'émission « Les Infiltrés » (lire nos précédentes éditions).
Thomas Rivière, à l'origine de la création de cette école, s'estime piégé par le journaliste de l'agence de presse Capa et condamne les propos racistes et antisémites tenus par les militants du groupuscule extrémiste Dies Irae.
Trois endroits visés
Ce week-end, la tension est malgré tout montée d'un cran. La maison de Thomas Rivière donc a été taguée de sigles nazis et deux autres événements se sont produits, visant la mouvance traditionaliste.
La vitrine de la librairie de la rue Saint-James, située face à l'entrée de l'église Saint-Éloi, a également été prise pour cible et brisée par deux individus qui ont lancé des pavés, dimanche, à 3 heures du matin. Plusieurs impacts sont d'ailleurs visibles.
Les auteurs présumés ont été arrêtés par une patrouille de la brigade anti-criminalité de Bordeaux alors qu'ils s'enfuyaient, cours Victor-Hugo. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat central où ils ont été auditionnés. Il s'agit de deux Bordelais âgés de 25 et 27 ans.
Un peu plus tôt dans la nuit, le bar associatif de Dies Irae, rue de Guienne, a été lui aussi tagué. Des autocollants d'un groupe anarchiste ont aussi été apposés sur la devanture.
Pour tous ces faits, la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) a été saisie par le parquet.
Des gens connus
Les enquêteurs du Service régional de l'identité judiciaire ont effectué des opérations de police technique et scientifique. De minutieux prélèvements ont été réalisés sur les lieux pour tenter d'identifier les tagueurs qui ont semble-t-il pris beaucoup de précautions avant de se lancer, pinceau à la main.
L'enquête pourrait s'orienter vers la mouvance de gauche même si toute autre piste n'est pas exclue.
Dans le cadre de cette affaire, la PJ va travailler en étroite relation avec le service départemental d'informations générales (SDIG) et celui du Renseignement intérieur (RI).
Les investigations pourraient être menées sur différents sites du département. À Bordeaux et dans le Libournais notamment. « L'émission ''Les Infiltrés'' a révélé certaines choses mais ces gens-là sont connus. Il va falloir traduire dans la réalité quelque chose que les services de renseignements connaissent bien », confie un policier.
L'enquête qui ne fait que débuter devrait mettre en lumière plusieurs infractions ainsi que des délits. « Les faits au plan moral et sociétal sont graves, reconnaît une source proche de l'enquête, mais la procédure est plus complexe que cela. D'autant qu'entre la saisine des services de police judiciaire et la diffusion de l'émission, des éléments ont sûrement disparu. »
Des croix gammées et des sigles SS sur les murs inscrits à la peinture noire. C'est ce qu'a découvert samedi, sur la façade de sa maison, l'avocat Thomas Rivière, président de l'école bordelaise Saint-Projet, établissement d'enseignement catholique entièrement privé.
Il est mis en cause dans le reportage « À la droite du Père », diffusé sur France 2 mardi dernier dans l'émission « Les Infiltrés » (lire nos précédentes éditions).
Thomas Rivière, à l'origine de la création de cette école, s'estime piégé par le journaliste de l'agence de presse Capa et condamne les propos racistes et antisémites tenus par les militants du groupuscule extrémiste Dies Irae.
Trois endroits visés
Ce week-end, la tension est malgré tout montée d'un cran. La maison de Thomas Rivière donc a été taguée de sigles nazis et deux autres événements se sont produits, visant la mouvance traditionaliste.
La vitrine de la librairie de la rue Saint-James, située face à l'entrée de l'église Saint-Éloi, a également été prise pour cible et brisée par deux individus qui ont lancé des pavés, dimanche, à 3 heures du matin. Plusieurs impacts sont d'ailleurs visibles.
Les auteurs présumés ont été arrêtés par une patrouille de la brigade anti-criminalité de Bordeaux alors qu'ils s'enfuyaient, cours Victor-Hugo. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat central où ils ont été auditionnés. Il s'agit de deux Bordelais âgés de 25 et 27 ans.
Un peu plus tôt dans la nuit, le bar associatif de Dies Irae, rue de Guienne, a été lui aussi tagué. Des autocollants d'un groupe anarchiste ont aussi été apposés sur la devanture.
Pour tous ces faits, la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) a été saisie par le parquet.
Des gens connus
Les enquêteurs du Service régional de l'identité judiciaire ont effectué des opérations de police technique et scientifique. De minutieux prélèvements ont été réalisés sur les lieux pour tenter d'identifier les tagueurs qui ont semble-t-il pris beaucoup de précautions avant de se lancer, pinceau à la main.
L'enquête pourrait s'orienter vers la mouvance de gauche même si toute autre piste n'est pas exclue.
Dans le cadre de cette affaire, la PJ va travailler en étroite relation avec le service départemental d'informations générales (SDIG) et celui du Renseignement intérieur (RI).
Les investigations pourraient être menées sur différents sites du département. À Bordeaux et dans le Libournais notamment. « L'émission ''Les Infiltrés'' a révélé certaines choses mais ces gens-là sont connus. Il va falloir traduire dans la réalité quelque chose que les services de renseignements connaissent bien », confie un policier.
L'enquête qui ne fait que débuter devrait mettre en lumière plusieurs infractions ainsi que des délits. « Les faits au plan moral et sociétal sont graves, reconnaît une source proche de l'enquête, mais la procédure est plus complexe que cela. D'autant qu'entre la saisine des services de police judiciaire et la diffusion de l'émission, des éléments ont sûrement disparu. »
Il est mis en cause dans le reportage « À la droite du Père », diffusé sur France 2 mardi dernier dans l'émission « Les Infiltrés » (lire nos précédentes éditions).
Thomas Rivière, à l'origine de la création de cette école, s'estime piégé par le journaliste de l'agence de presse Capa et condamne les propos racistes et antisémites tenus par les militants du groupuscule extrémiste Dies Irae.
Trois endroits visés
Ce week-end, la tension est malgré tout montée d'un cran. La maison de Thomas Rivière donc a été taguée de sigles nazis et deux autres événements se sont produits, visant la mouvance traditionaliste.
La vitrine de la librairie de la rue Saint-James, située face à l'entrée de l'église Saint-Éloi, a également été prise pour cible et brisée par deux individus qui ont lancé des pavés, dimanche, à 3 heures du matin. Plusieurs impacts sont d'ailleurs visibles.
Les auteurs présumés ont été arrêtés par une patrouille de la brigade anti-criminalité de Bordeaux alors qu'ils s'enfuyaient, cours Victor-Hugo. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat central où ils ont été auditionnés. Il s'agit de deux Bordelais âgés de 25 et 27 ans.
Un peu plus tôt dans la nuit, le bar associatif de Dies Irae, rue de Guienne, a été lui aussi tagué. Des autocollants d'un groupe anarchiste ont aussi été apposés sur la devanture.
Pour tous ces faits, la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) a été saisie par le parquet.
Des gens connus
Les enquêteurs du Service régional de l'identité judiciaire ont effectué des opérations de police technique et scientifique. De minutieux prélèvements ont été réalisés sur les lieux pour tenter d'identifier les tagueurs qui ont semble-t-il pris beaucoup de précautions avant de se lancer, pinceau à la main.
L'enquête pourrait s'orienter vers la mouvance de gauche même si toute autre piste n'est pas exclue.
Dans le cadre de cette affaire, la PJ va travailler en étroite relation avec le service départemental d'informations générales (SDIG) et celui du Renseignement intérieur (RI).
Les investigations pourraient être menées sur différents sites du département. À Bordeaux et dans le Libournais notamment. « L'émission ''Les Infiltrés'' a révélé certaines choses mais ces gens-là sont connus. Il va falloir traduire dans la réalité quelque chose que les services de renseignements connaissent bien », confie un policier.
L'enquête qui ne fait que débuter devrait mettre en lumière plusieurs infractions ainsi que des délits. « Les faits au plan moral et sociétal sont graves, reconnaît une source proche de l'enquête, mais la procédure est plus complexe que cela. D'autant qu'entre la saisine des services de police judiciaire et la diffusion de l'émission, des éléments ont sûrement disparu. »
Des croix gammées et des sigles SS sur les murs inscrits à la peinture noire. C'est ce qu'a découvert samedi, sur la façade de sa maison, l'avocat Thomas Rivière, président de l'école bordelaise Saint-Projet, établissement d'enseignement catholique entièrement privé.
Il est mis en cause dans le reportage « À la droite du Père », diffusé sur France 2 mardi dernier dans l'émission « Les Infiltrés » (lire nos précédentes éditions).
Thomas Rivière, à l'origine de la création de cette école, s'estime piégé par le journaliste de l'agence de presse Capa et condamne les propos racistes et antisémites tenus par les militants du groupuscule extrémiste Dies Irae.
Trois endroits visés
Ce week-end, la tension est malgré tout montée d'un cran. La maison de Thomas Rivière donc a été taguée de sigles nazis et deux autres événements se sont produits, visant la mouvance traditionaliste.
La vitrine de la librairie de la rue Saint-James, située face à l'entrée de l'église Saint-Éloi, a également été prise pour cible et brisée par deux individus qui ont lancé des pavés, dimanche, à 3 heures du matin. Plusieurs impacts sont d'ailleurs visibles.
Les auteurs présumés ont été arrêtés par une patrouille de la brigade anti-criminalité de Bordeaux alors qu'ils s'enfuyaient, cours Victor-Hugo. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat central où ils ont été auditionnés. Il s'agit de deux Bordelais âgés de 25 et 27 ans.
Un peu plus tôt dans la nuit, le bar associatif de Dies Irae, rue de Guienne, a été lui aussi tagué. Des autocollants d'un groupe anarchiste ont aussi été apposés sur la devanture.
Pour tous ces faits, la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) a été saisie par le parquet.
Des gens connus
Les enquêteurs du Service régional de l'identité judiciaire ont effectué des opérations de police technique et scientifique. De minutieux prélèvements ont été réalisés sur les lieux pour tenter d'identifier les tagueurs qui ont semble-t-il pris beaucoup de précautions avant de se lancer, pinceau à la main.
L'enquête pourrait s'orienter vers la mouvance de gauche même si toute autre piste n'est pas exclue.
Dans le cadre de cette affaire, la PJ va travailler en étroite relation avec le service départemental d'informations générales (SDIG) et celui du Renseignement intérieur (RI).
Les investigations pourraient être menées sur différents sites du département. À Bordeaux et dans le Libournais notamment. « L'émission ''Les Infiltrés'' a révélé certaines choses mais ces gens-là sont connus. Il va falloir traduire dans la réalité quelque chose que les services de renseignements connaissent bien », confie un policier.
L'enquête qui ne fait que débuter devrait mettre en lumière plusieurs infractions ainsi que des délits. « Les faits au plan moral et sociétal sont graves, reconnaît une source proche de l'enquête, mais la procédure est plus complexe que cela. D'autant qu'entre la saisine des services de police judiciaire et la diffusion de l'émission, des éléments ont sûrement disparu. »
Re: tague anti tradi a bordeaux
Silence total des merdiats, un établissement d'enseignement catholique entièrement privé n’est ni une mochequée, ni un cimetière juif
clovis 92- Messages : 2426
Date d'inscription : 02/07/2009
Age : 75
Localisation : Nanterre
Re: tague anti tradi a bordeaux
Encore une foi la haine anti-catholique a bien fonctionner.
Rien de la part des merdias. Que c'est crasseux soit punis sévèrement.
Soutient aux militants de Dies Irae.
Rien de la part des merdias. Que c'est crasseux soit punis sévèrement.
Soutient aux militants de Dies Irae.
Fils de France- Messages : 179
Date d'inscription : 03/04/2010
Age : 39
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