QUAND MOMO FUME DU BEDO
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QUAND MOMO FUME DU BEDO
Un homme de 24 ans a été condamné jeudi à douze mois de prison dont huit avec sursis et mise à l'épreuve par le tribunal correctionnel de Paris pour des alertes à la bombe infondées, visant notamment les tours Eiffel et Montparnasse, qui avaient dû être évacuées le 25 février.
"J'ai honte de ce que j'ai fait", a expliqué à l'audience Mohammed P., jeune homme au crâne tondu, en jean et veste de survêtement. "Sur le moment je n'étais pas moi-même", a-t-il raconté, expliquant ses appels par le fait que ce soir-là il avait "bu du whisky et fumé des joints", parce qu'il allait "mal".
Le 25 février au soir, il avait passé à partir d'une cabine téléphonique des appels anonymes, au ministère des affaires étrangères notamment, signalant que des bombes allaient exploser à la tour Eiffel et à la tour Montparnasse, ainsi qu'au Théâtre du Châtelet, où devait se tenir la 36e cérémonie des Césars du cinéma.
CARTE TÉLÉPHONIQUE PRÉPAYÉE
Ces lieux avaient été évacués : 1 700 personnes pour la tour Eiffel, qui était restée fermée toute la soirée, 300 pour la tour Montparnasse, qui avait rouvert ses portes vers 22 h 30. Les services de déminage n'avaient rien trouvé.
La brigade criminelle de la police judiciaire parisienne avait réussi à remonter jusqu'au coupable car il avait réutilisé sa carte téléphonique prépayée deux jours après les faits, pour appeler son dentiste.
Mohammed P. devra en outre indemniser le restaurant Ciel de Paris de la tour Montparnasse, qui avait évalué ses pertes à plus de 21 000 euros. Mais faute d'éléments suffisants pour déterminer le préjudice, une nouvelle audience est prévue le 23 juin. La société d'exploitation de la tour Eiffel avait de son côté estimé son préjudice à 71 000 euros, mais elle ne s'est pas constituée partie civile.
"J'ai honte de ce que j'ai fait", a expliqué à l'audience Mohammed P., jeune homme au crâne tondu, en jean et veste de survêtement. "Sur le moment je n'étais pas moi-même", a-t-il raconté, expliquant ses appels par le fait que ce soir-là il avait "bu du whisky et fumé des joints", parce qu'il allait "mal".
Le 25 février au soir, il avait passé à partir d'une cabine téléphonique des appels anonymes, au ministère des affaires étrangères notamment, signalant que des bombes allaient exploser à la tour Eiffel et à la tour Montparnasse, ainsi qu'au Théâtre du Châtelet, où devait se tenir la 36e cérémonie des Césars du cinéma.
CARTE TÉLÉPHONIQUE PRÉPAYÉE
Ces lieux avaient été évacués : 1 700 personnes pour la tour Eiffel, qui était restée fermée toute la soirée, 300 pour la tour Montparnasse, qui avait rouvert ses portes vers 22 h 30. Les services de déminage n'avaient rien trouvé.
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