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Drasius Kedys, présumé avoir fait sauter deux des institutions qui couvraient le réseau pédocriminel, après avoir abattu sa belle-soeur et un magistrat

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Message  Invité Jeu 22 Oct - 18:34

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Drasius Kedys, présumé avoir fait sauter deux des institutions qui couvraient le réseau pédocriminel, après avoir abattu sa belle-soeur et un magistrat

DRASIUS KEDYS: quand la censure mène au meurtre
Un homme d’affaire lituanien est présumé avoir abattu un juge et sa belle-sœur à Kaunas, puis opéré un attentat à la bombe au siège du Parti social-démocrate lituanien et le bureau de quartier général pour la protection des enfants à Vilnius. Drąsius Kedys, propriétaire d’une entreprise de fourrures, reproche à son ex-compagne et à sa belle-sœur d’avoir prostitué sa fille et sa nièce à un trio qui comprend le magistrat abattu. Il reproche également aux autorités lituaniennes et aux médias, d’avoir couvert le réseau pédocriminel.
Deimantele avait 4 ans l'an dernier, quand elle dit à son père, Drąsius Kedys, qu'elle n’aimait pas qu'Andrius, Jonas et Aidas la déshabille et la lèche. Cela se passait tous les W/E chez sa mère, la belle Laima Stankūnaitė, dit-elle, qui la défendait, mais nue, parfois armée d'un balai, parfois d'une ceinture. Ils pouvaient aussi emmener la petite fille à l'hôtel, sans sa mère, à qui ils donnaient de l'argent quand ils arrivaient et quand ils repartaient. Le prix moyen étant de 1000 euros la séance, présume un gain de 4000 euros par mois.


La ravissante Laima, qui défendait sa fille de 4 ans, mais nue, parfois armée d'un balai, parfois d'une ceinture, selon la petite victime.

Andrius, Jonas et Aidas tiraient sur leurs "sysalas" (sexe) qui devenait grand et le mettait dans sa bouche, a expliqué la petite Deimantele. Ils frottaient tout son corps avec une "crème naturelle qui sortait du sysalas" (sperme). Ils la lavaient à trois, comme une poupée, dans la salle de bain.

En 2006, Laima Stankūnaitė souhaitait récupérer la garde de sa fille, reprochant à son père d’avoir été la chercher à l’école sans permission et refusé de lui rendre des vêtements de l’enfant. Un service de la protection de l’enfance lui conseilla de demander l'aide d'Andrius Ūsas, directeur de Eurotechnika et membre du Présidium Démocrate des Citoyens de Kaunas. Ce conseil présume que ce service est soit part d'un réseau de corruption, soit que le lieu de résidence des enfants est une affaire politique en Lituanie.

Deimantele savait que cet Andrius allait aider à changer les droits de garde, et elle a reconnu Andrius Ūsas. Sa mère lui avait dit qu'elle "oublierait son père", lorsqu'elle ne le verrait plus, ce qui présume qu'elle avait un plan pour se débarrasser de lui. Quand Deimantele se plaignait d'Andrius à sa mère, elle lui répondait qu'elle aimait cela, et qu'elle devrait lui en demander plus.


Jonas Furmanavičius, juge au Tribunal de Kaunas identifiée par la petite Deimantele


Drąsius Kedys a présenté à sa fille des douzaines de photos, coupées comme dans un jeu de carte, en lui demandant si elle reconnaissait parmi ces hommes, les amis d'Andrius. La petite Deimantele a pris la photo de Jonas Furmanavičius, juge au Tribunal de Kaunas et dit: "c'est Jonas".

La justice lituanienne a refusé toutes les requêtes de la partie civile. Algimantas Valantinas, le Procureur Général de Lituanie n’a pas trouvé opportun de faire interroger le juge Furmanavičius, mais il a trouvé opportun de critiquer Drąsius Kedys pour avoir publié sur Internet, les vidéos envoyées sous forme de DVD 200 euro parlementaires et médias, où à visage caché, Diemantele raconte ce qui lui est arrivé. Le Procureur Valantinas a peur que cela fasse fantasmer des pervers, mais il n'a pas eu peur de s'opposer à l'application de la loi concernant le juge Furmanavičius.

En revanche, les magistrats ont imposé à la petite Deimantele trois interrogatoires, alors que la loi prévoit de protéger les enfants abusés de ce traumatisme, en réduisant l’instruction à un seul examen. Les dix psychologues désignés par le tribunal n’ont pas été en mesure de déterminer les "mensonges" de l’enfant.

Ce 9 juin 2009 encore, la petite fille a affronté le tribunal. Elle a répété devant la Cour qu’Andrius mettait son "sysalas" dans sa bouche plusieurs fois d’affilée et pour cette raison, sa bouche faisait mal. Les magistrats ont prétexté le refus d’un quatrième examen psychiatrique de dix jours à l’hôpital, inadmissible puisqu'il y en avait déjà eu trois, pour décréter que Deimantele n’avait pas été abusée. Ils ont aussi limité les droits parentaux de son père, au motif qu’il avait fait appel aux médias.

Drąsius Kedys a alors été poursuivi pour le paiement de un million de litas (290.000 € – 432.000 $), pour le "montage d’une calomnie". Ce n'était qu'une étape dans le piège judiciaire prévu de le mener à la faillite, puis en prison, pour assurer à Laima Stankūnaitė qu'il ne puisse plus revoir et protéger sa fille, comme Deimantele avait tenté de le prévenir devant la caméra.

Le réseau judiciaire lituanien ne donnait aucun avenir, ni à Drąsius Kedys, ni à son entreprise. Il aurait pu demander l’asile politique à la Russie, au constat que l’Union Européenne soutient la corruption de ses pays membres, mais il aurait alors été condamné pour enlèvement parental. Le même piège est opéré partout où le réseau Zandvoort passe.

Le 5 octobre, une camionnette blanche a bloqué la route du juge Furmanavičius, dans un carrefour en forme de T, alors qu’il se rendait au tribunal, à 8h30 le matin. Le juge a été abattu de trois balles dans le bas-ventre et une dans la tête devant témoin. Deux heures plus tard, la soeur de Laima Stankūnaitė, Violeta Naruševičienė, également exposée pour avoir prostitué sa propre fille, a également été abattue. L'arme laissée à côté de son corps était enregistrée au nom Drąsius Kedys. Les autorités lituaniennes ne pourront donc pas maquiller le meurtre en suicide, comme le prévoit la procédure, pour couvrir les crimes qui visent à exposer le réseau dans des affaires trop sensibles.

Drąsius Kedys a disparu. Une semaine plus tard, le bâtiment qui héberge le siège du Parti social-démocrate lituanien et le bureau de quartier général pour la protection des enfants à Vilnius, a été secoué par une violente explosion. Les journalistes lituaniens ont suggéré que la bombe pourrait avoir été placé là par Drasius Kedys. Ces gens sont en effet complices d'un réseau d'escrocs et de violeurs d'enfants.

Depuis, le site Internet http://www.kedys.lt/ enregistre des centaines de votes par heure, dont 90% disent que Drąsius Kedys, dont le prénom signifie "brave" en lituanien, est un héro. Facebook a réuni un comité de soutien de plus de 21.000 personnes, dont 16.000 en 24 heures.

Combien de héros sont en prison pour avoir été nié tout droit à un procès équitable, parce qu'ils ont exposé un réseau, où parce qu'ils ont tué ceux qui en ont abusé? Combien d'enfants ont été privés de contact avec un parent et volés de leur héritage via ces jugements, qui ne visent qu'à taire un scandale?

La majorité des victimes sont en faveur d'un soulèvement armé, pour répondre à la terreur par la terreur, parce que l'Europe sabote systématiquement tous les moyens démocratiques leur donnant la plus petite forme de justice.

L'affaire Dutroux a été exploitée pour soutirer des millions d'euros pour combattre l'exploitation sexuelle d'enfants, mais dépensés à une publicité mensongère, qui donne des envies meurtrières aux victimes. L'Europe a créé, en conséquence de l'affaire Dutroux, le programme DAPHNE pour subsidier les projets des organismes civils, actifs à la recherche des enfants disparus et sexuellement exploités. Des centaines de milliers d'euros ont été attribué à CHILD FOCUS, pour créer CHILDOSCOPE, une plateforme visant à réunir tous les organismes européens actifs en le domaine, dont trois organismes lituaniens subsidiés par l'Europe.

Une seule réponse donnant espoir de justice à Drąsius, aurait évité d'en faire un héro malgré lui et un fugitif privé de sa fille, alors qu'il voyait sa vie en celle d'un homme d'affaire prospère. Drąsius n'a pas reçu cette réponse, parce que la plateforme européenne ne fonctionne pas: parce que les organismes réellement actifs en le domaine n'ont pas été avisés de sa situation et parce que ces organismes-là sont privés de tout subside pour pouvoir étendre leurs actions.

La presse belge n'a révélé les exécutions qu'avec dix jours de retard, quand les hauts fonctionnaires des institutions européennes ont découvert avoir de bonnes raisons de craindre pour leur vie. Ces exécutions sont en effet la conséquence de l'immobilisme de l'Europe, quand les européens demandent à ses institutions d'assurer l'application de internationales par ses pays membres.

Même quand la Commission de Pétitions du Parlement Européen est sollicitée d'interroger un pays sur l'application du droit international en matière de pédocriminalité organisée, les fonctionnaires se moquent des pétitionnaires. Dernièrement encore, la présidente de cette commission, Ermina Mazzoni, a répondu dans sa lettre réf. KLC/ea[02-COM.PETI(2009)D/45645], que l'examen de la pétition réf. n° 660/2008 serait poursuivie en prenant compte de la réponse d'Europol. Europol "a décidé que cette requête devait être envoyée aux autorités belges compétentes (et mise en cause) pour traitement complémentaire". "Sur base de ces informations", répond Ermina Mazzoni, "la Commission des Pétitions a décidé de conclure l'examen de votre pétition et donc de fermer le dossier". Des dizaines de pétitions exposant des vies en péril sont en attente d'une réponse de ce genre.

Le protectorat de la criminalité organisée aux mains des hauts fonctionnaires comprend le contrôle des moteurs de recherche sur Internet et le piratage, pour contrôler l'information. Le site qui hébergeait les appels au secours de Drąsius Kedys et les vidéos envoyées aux euro députés a vite été détruits. Le Werkgroep Morkhoven, qui découvrait seulement l'affaire, est parvenu à en trouver une copie. Chaque page commençait par un avertissement que ces appels pourraient finir bloqués de l'Internet. Les sites hébergeant ces copies et les vidéos ont vite atteints le sommet de tous les moteurs de recherche, puis ont disparu de ces moteurs de recherche hier après-midi, d'une minute à l'autre.





MOTIFS POUR LES EXECUTIONS: deux lettres de Drąsius Kedys appelant l'Union Européenne et les médias au secours de sa fille

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