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Tous les chemins mènent à Nuremberg…

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Tous les chemins mènent à Nuremberg… Empty Tous les chemins mènent à Nuremberg…

Message  clovis 92 Jeu 20 Sep - 9:00

De: Francois-xavier Rochette
Tous les chemins mènent à Nuremberg…

Depuis le 11 mai 1960, cette activité est devenue le sport favori des juifs fortunés et mégalomanes : la chasse aux Allemands, la traque des nazis est devenue une passion dévorante pour les membres exaltés du peuple élu et réélu depuis qu’un commando starisé de 8 personnes kidnappa Ricardo Klement alias Adolf Eichmann (surnommé par ces juifs Dybbuk pour l’esprit du mal…) en Argentine, en « ratant » cependant de peu le légendaire Docteur Joseph Mengele, Herr Mengele ! Avec l’avènement de la télévision banalisée dans le monde occidental, le temps de la médiatisation tous azimuts du spectacle shoatique était venu au tout début des années 60 et avec lui la sanctuarisation mentale de l’entité sioniste qui devait impérativement être sacralisée par le monde blanc afin de garantir sa sécurité politique, économique et militaire.

Des kidnappings pour la Mémoire…

Au-delà de la nécessité didactique de la mise en place de ces sortes de procès kafkaïens qui prolifèreront par la suite dans le monde entier, les rapts ultra-violents d’hommes de plus en plus âgés dont l’immense tort fut d’avoir perdu la guerre constituèrent et constituent encore grâce à force publicités un divertissement sidérant pour population occidentale dégénérée. Car la chasse aux nazis édentés représente un plaisir incommensurable pour l’engeance du Système qu’elle impose à la masse coupable qui doit cultiver la honte de sa propre existence… Durant quatre ou cinq décennies, le Mossad puis des organisations officiellement non gouvernementales ont fourni du spectacle à un peuple vengeur et à une masse masochiste, finement trépanée. L’objectif était de livrer régulièrement en pâture des hommes déguisés en monstres par la matrice médiatique en insinuant l’équation suivante qui est devenue vérité républicaine : Responsable direct ou indirect de l’arrestation de juifs = déporteur de juifs = antisémite névrosé = monstre absolument méchant = exterminateur de juifs = nazi. Le nazi inventé par l’engeance se substituait ainsi progressivement au symbole du mal absolu et au Diable. A partir du moment où leur « Holocauste est devenue partie intégrante de leur identité » (dixit Tom Segev, historien israélien exterminationniste), l’élite fière et dominatrice se devait d’imposer sa grille de lecture démoniaque à l’ensemble du monde goy. Mais l’illumination israélite, véritable mastodonte d’éther monstrueux, gourmand en énergie, en cinéma, en spectacles, en exemples (oui en exemples surtout ; en exemples qui font saigner les cœurs et pleurer les yeux des aveugles tout en attisant la haine obligatoire entretenue contre les rares défenseurs de notre race), doit continûment s’accentuer, devenir de plus en plus surréaliste afin d’échapper à sa propre mort. Car la rareté de plus en plus manifeste des survivants de la cohorte des nazis qui furent en contact avec certains juifs contraint les prédateurs actuels d’Allemands nonagénaires d’élargir la gamme de leurs gibiers. Comme un nazi restera toujours un salaud de nazi dans la tête du téléspectateur moyen de l’Occident zogiste, les chercheurs de vieux Allemands se rabattent sur les sans grades et pis, oserions-nous dire, sur ces nazis qui ne se sont jamais inquiétés, ni dans leur travail, ni pendant la guerre, des Juifs en tant que Juifs !


Les 10 hommes les plus haïs du monde démocratique


Le Centre Simon-Wiesenthal qui poursuit inexorablement l’œuvre de son fondateur éponyme, a bien compris comment il pouvait perpétuer cette grosse comédie mélodramatique ô combien divertissante. Son nouveau patron, pardon, directeur, Efraim Zuroff, individu de 63 ans aux airs inquiétants présenté par le media mondial comme un être infatigable, intelligent, humain et infiniment courageux, a trouvé une astuce sensationnelle pour alimenter en charbon la locomotive holocaustique : La création d’une liste noire composée de dix noms correspondant automatiquement à 10 criminels affreusement nazis (donc antisémites et super assassins, en tout cas plus assassins que n’importe quel autre assassin…). Et tant pis, si les nouveaux venus (les nazis nonagénaires ou centenaires remplaçant sur la liste de la dernière chance (sic) d’autres lampistes tout aussi âgés mais décédant malgré tout avant l’heure du fait des persécutions et du harcèlement subis) ne sont parfois, comme nous le disions précédemment, que des petits gradés qui ne s’adressèrent parfois jamais aux Juifs. En ce moment, les 10 hommes dans le collimateur du Centre Simon-Wiesenthal sont dans un ordre décroissant « d’importance » selon l’agent Zuroff (liste actualisée la dernière fois en avril dernier) :
1) Laszlo Csatary, hongrois, ancien chef de la police de Kosice où 15 700 Juifs auraient été déportés. L’homme vient d’être inculpé de crimes de guerre à l’âge de 97 ans… D’une pierre, deux coups, puisque la cible en question permet de stigmatiser une nouvelle fois le gouvernement hongrois actuel qui ne ferait pas preuve d’un grand zèle pour activer la condamnation du vieillard…
2) Klaas Carl Faber (un Allemand mort en mai ; pas de chance pour les disciples de Wiesenthal) qui aurait exécuté des résistants hollandais et juifs (mais peut-être que ces derniers étaient tout simplement des résistants ?).
3) Gerhard Sommer, ancien SS qui aurait participé au « massacre » de 560 civils dans le village de Sant’Anna en Italie. Il est l’objet d’une enquête en Allemagne.
4) Vladimir Katriuk, Ukrainien, naturalisé canadien puis dénaturalisé : On lui reproche d’avoir participé au massacre de Katyn puis d’avoir caché son passé nazi. Non, nous ne rêvons pas !
5) Karoly Zentai est un Hongrois naturalisé australien accusé d’avoir tué des Juifs, un peu au hasard, au sein du ghetto de Budapest.
6) Soren Kam est un ancien volontaire de la SS Viking Division dont le visage semble avoir particulièrement déplu à Zuroff.
7) Ivan Kalymon faisait parti de la police de Lvov, mais il a surtout caché son passé nazi ce qui semble intolérable aux yeux brillants des membres du Centre S-W.
Cool Algimantas Dailide a été condamné à 5 ans de prison par un tribunal lituanien pour avoir arrêté 12 juifs s’échappant d’un ghetto… Il a été jugé trop vieux pour accomplir sa peine, ce qui horrifie Zuroff.
9) Mikhail Gorshkow est un Estonien qui fut interprète pour la Gestapo. L’Estonie a pourtant abandonné l’affaire en octobre 2011.
10) Helmut Oberlander est un ancien soldat accusé d’avoir tué plus de 23 000 personnes en Ukraine selon Efraim Zuroff bien entendu… Aucun commentaire.


Le préjugé du mal absolu


L’ennemi intime numéro 1 de Zuroff est ainsi l’ancien chef du ghetto de Kosice, Laszlo Csatary, un homme âgé de 97 ans. Si Zuroff et ses sbires avouent que leur Hongrois est un petit poisson, ils rétorquent à leurs contradicteurs que s’il n’est pas le super criminel que l’on était en droit d’attendre, il reste un cas « fascinant » car il « exécutait les ordres très activement, avec sadisme » (sic)… Où nous voyons que lorsque l’argument quantitatif fait défaut, il reste toujours aux chasseurs de nazis de la onzième heure l’argument irréfragable du sadisme et de la qualité des supplices. « Pour une personne comme Csatary, déclare à ce propos l’historien officiel au Mémorial de l’Holocauste à Budapest, Laszlo Csosz, il était clair qu’on n’envoyait pas les juifs vers des camps de travail, mais à la mort. Même s’il ne connaissait pas les détails, (une phrase qui fera bondir JMLP !), les chambres à gaz, les fours crématoires. » Mais alors, qu’en sait-il ? Comment cet historien fonctionnaire peut-il affirmer une telle chose si même les détails de la Seconde Guerre Mondiale lui étaient inconnus? Mais parce qu’il était nazi, pardi ! C’est plus simple comme ça, dans les « musées » comme lors des procès ! Confirmation avec le magazine L’Express du 1er août qui titre sur les 10 raisons de croire en Dieu. Quatrième argument : Parce que le diable existe (p.46). Et devinez qui est le diable ? Oui, oui, c’est cela oui, vous avez gagné une visite gratos à Auschwitz, son antre ! C’est si simple, on vous dit !


François-Xavier Rochette.
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