Législatives 7e - Jean-Claude Frappa: "Le peuple n'est pas protégé"
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Législatives 7e - Jean-Claude Frappa: "Le peuple n'est pas protégé"
L’ex-conseiller municipal et régional Front national représente le Parti de la France. A 70 ans, l’entrepreneur n’a rien perdu de sa verve
Avec le Biotois Michel Cau comme suppléant, Jean-Claude Frappa a organisé la semaine dernière, à son local de l'avenue Pasteur, une réunion de lancement de sa campagne pour le premier tour de l'élection législative avec son équipe.
A 70 ans, l'entrepreneur de travaux publics, ancien conseiller municipal à Cannes et Antibes, et ex-conseiller régional pour le Front national, reprend du service politique. Mais cette fois, sous les couleurs du Parti de la France, présidé par Carl Lang, ancien lieutenant de Jean-Marie Le Pen.
Comment est né le Parti de la France ?
Il a été créé lors d'une réunion, il y a trois ans en région parisienne, par cinq cents anciens cadres et élus du Front national qui ont fait le point après avoir été évincés. J'ai été nommé délégué départemental des Alpes-Maritimes. Pour donner l'exemple et montrer la voie aux plus jeunes, je me présente aux législatives.
Pourquoi avoir quitté le FN ?
Le Front national, j'en suis parti, car ça a trop changé pour qu'on puisse les suivre.
Quel est le but de votre candidature ?
Il s'agit de mieux faire connaître le Parti de la France. Nous sommes présents dans trois circonscriptions des Alpes-Maritimes. Je n'ai pas besoin de faire de politique, j'en fais par idéal. Notre position, c'est de redorer le blason de la politique. Je fais partie des gens honnêtes, qui n'ont pas changé leurs idées et qui veulent le bien-être de la France et des Français.
Comment jugez-vous la situation politique ?
Le gouvernement Hollande n'augure rien de bon. Il faut reprendre tout ça en mains. On nous parle de croissance, mais pour la retrouver, il faut de la confiance, or les gens n'ont justement plus confiance. Tout le monde baisse les bras, c'est lamentable. La vraie démocratie, c'est de faire quelque chose de sérieux, d'intelligent et de tenir compte de l'intérêt du pays. Le peuple n'est plus protégé aujourd'hui. La France ne décide plus, n'agit plus, subit, se résigne et se soumet. La France est souffrante. Il faut mettre à l'Assemblée nationale des gens qui sont responsables de leur vote. Quand on voit les incompétents qui se sont installés, s'il n'y a pas d'élus pour les empêcher d'agir, les Français n'ont plus qu'à prier le bon Dieu.
Que pensez-vous du député sortant ?
Je connais bien Jean Leonetti. Il a eu son bâton de maréchal avec son ministère, il faut qu'il arrête. Des gens comme lui ne sauveront pas le pays.
Quelles sont les grandes lignes de votre programme ?
Il faut restaurer les valeurs sociales et familiales de notre civilisation européenne et chrétienne, affirmer une politique étrangère indépendante et libre, instaurer le scrutin proportionnel pour toutes les élections, organiser une nouvelle Europe des patries, la reconquête économique de notre marché intérieur, la défense de la France paysanne, instaurer le patriotisme social, rétablir la sécurité des Français, refuser le droit de vote aux étrangers, la colonisation migratoire et islamique, reconstruire l'école du savoir et de l'identité française, défendre les libertés économiques et l'initiative privée.
Que répondez-vous à l'accusation d'extrémisme?
Je n'ai rien d'extrême droite, je suis humain, j'ai toujours fait le bien autour de moi en rendant service.
source nice matin
Avec le Biotois Michel Cau comme suppléant, Jean-Claude Frappa a organisé la semaine dernière, à son local de l'avenue Pasteur, une réunion de lancement de sa campagne pour le premier tour de l'élection législative avec son équipe.
A 70 ans, l'entrepreneur de travaux publics, ancien conseiller municipal à Cannes et Antibes, et ex-conseiller régional pour le Front national, reprend du service politique. Mais cette fois, sous les couleurs du Parti de la France, présidé par Carl Lang, ancien lieutenant de Jean-Marie Le Pen.
Comment est né le Parti de la France ?
Il a été créé lors d'une réunion, il y a trois ans en région parisienne, par cinq cents anciens cadres et élus du Front national qui ont fait le point après avoir été évincés. J'ai été nommé délégué départemental des Alpes-Maritimes. Pour donner l'exemple et montrer la voie aux plus jeunes, je me présente aux législatives.
Pourquoi avoir quitté le FN ?
Le Front national, j'en suis parti, car ça a trop changé pour qu'on puisse les suivre.
Quel est le but de votre candidature ?
Il s'agit de mieux faire connaître le Parti de la France. Nous sommes présents dans trois circonscriptions des Alpes-Maritimes. Je n'ai pas besoin de faire de politique, j'en fais par idéal. Notre position, c'est de redorer le blason de la politique. Je fais partie des gens honnêtes, qui n'ont pas changé leurs idées et qui veulent le bien-être de la France et des Français.
Comment jugez-vous la situation politique ?
Le gouvernement Hollande n'augure rien de bon. Il faut reprendre tout ça en mains. On nous parle de croissance, mais pour la retrouver, il faut de la confiance, or les gens n'ont justement plus confiance. Tout le monde baisse les bras, c'est lamentable. La vraie démocratie, c'est de faire quelque chose de sérieux, d'intelligent et de tenir compte de l'intérêt du pays. Le peuple n'est plus protégé aujourd'hui. La France ne décide plus, n'agit plus, subit, se résigne et se soumet. La France est souffrante. Il faut mettre à l'Assemblée nationale des gens qui sont responsables de leur vote. Quand on voit les incompétents qui se sont installés, s'il n'y a pas d'élus pour les empêcher d'agir, les Français n'ont plus qu'à prier le bon Dieu.
Que pensez-vous du député sortant ?
Je connais bien Jean Leonetti. Il a eu son bâton de maréchal avec son ministère, il faut qu'il arrête. Des gens comme lui ne sauveront pas le pays.
Quelles sont les grandes lignes de votre programme ?
Il faut restaurer les valeurs sociales et familiales de notre civilisation européenne et chrétienne, affirmer une politique étrangère indépendante et libre, instaurer le scrutin proportionnel pour toutes les élections, organiser une nouvelle Europe des patries, la reconquête économique de notre marché intérieur, la défense de la France paysanne, instaurer le patriotisme social, rétablir la sécurité des Français, refuser le droit de vote aux étrangers, la colonisation migratoire et islamique, reconstruire l'école du savoir et de l'identité française, défendre les libertés économiques et l'initiative privée.
Que répondez-vous à l'accusation d'extrémisme?
Je n'ai rien d'extrême droite, je suis humain, j'ai toujours fait le bien autour de moi en rendant service.
source nice matin
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